Traditionnellement, en France, cette journée est également celle de la collecte nationale pour le Secours Catholique.
Les deux événements sont complémentaires : cette journée est l’occasion pour chacun et chacune de découvrir ou redécouvrir que les plus pauvres, ceux qui sont déjà présents dans nos paroisses
ou ceux qui sont encore dehors, ne représentent pas que des besoins à satisfaire mais qu’il nous faut les rencontrer et les écouter parce qu’ils ont un visage du Christ à nous révéler que
nous ne connaissons pas encore : « Les pauvres nous sauvent parce qu'ils nous permettent de rencontrer le visage de Jésus-Christ. » (Message du Pape François pour la 3ème Journée mondiale des
Pauvres §9).
Il ne s’agit donc pas tant d’organiser un événement ponctuel que de mettre en place une nouvelle façon d’accueillir et de donner leur place à tous ceux qui sont aux périphéries de nos paroisses, en commençant par les plus pauvres.
Je vous laisse donc découvrir quelques propositions assez simples à mettre en œuvre, mais qui peuvent contribuer à transformer notre regard et notre façon de penser, en ouvrant nos
communautés.
Si vous n’avez pas la possibilité d’organiser une animation pour le 17 novembre, ces propositions peuvent tout à fait être adaptées à un autre moment de l’année.
N’hésitez pas à nous faire remonter ce que vous aurez vécu ou mis en place, ou toutes les difficultés que vous aurez éventuellement rencontrées, mais également vos suggestions pour les années
à venir…
Au nom de l’équipe de diocésaine Diaconie et Solidarité,
Pascale Jousset, déléguée diocésaine